"rendre aux anarchistes leur espoir", n°21, p. 124
Chénier contre les "anarchiens", n°24, p. 210
Manque un cahier de 18 pages (p. 355-372)

Calvados : n° 33, 39, 43

"Des factieux de la gauche ont parlé le même langage" (n°36, 16 juillet, p. 50) ; "il sera difficile cette fois aux libellistes de dire qu'il y a un concert entre la droite de l'Assemblée et une partie de la gauche " (n°39, 27 août 1791, p. 298) : les substantifs gauche et droite sont employés sans guillemets ni italiques, contrairement à ce qu'affirme J. Julliard ("La bilatérisation spatiale" in Les Gauches françaises, 2012). Julliard a cependant raison de souligner que l'emploi de ces termes est cantonné à la description des débats parlementaires.

Desmoulins avait déjà écrit en décembre 1789 : "la gauche a battu des mains. La droite a mieux aimé ne pas désemparer" (Révolutions de France et de Brabant, n°5, p. 194)

Calvados : n° 24

Un des premiers emplois connus du mot terroriste dans le n° 25 du 25 brumaire an III (15 novembre 1794). Mais Tallien avait été précédé par Fréron dans l'Orateur du peuple du 18 vendémiaire.