Gardien de la Constitution (1795-1796)

Notes

par Jollivet dit Baralère.
Relié avec le Messager du soir.
"Jolivet, dit Baralere, dont le courage et les talents ont si heureusement servi à consolider la révolution du 9 thermidor et à terrasser le lion des jacobins, vient de reprendre la plume. Son journal jadis si redouté des anarchistes, sous le nom d'Ami de la Constitution [Ami de la Convention], portera désormais le titre de Gardien de la Constitution. Nous nous bornerons à extraire aujourd'hui les morceaux les plus intéressants de sa correspondance" (Gazette générale de l'Europe, 27 décembre 1795)
Jollivet-Barallère, Teulières : frappés de déportation comme "propriétaires, entrepreneurs, directeurs, auteurs ou rédacteurs" du Journal général de France ou Gardien de la Constitution, par arrêté du 12 fructidor an VII.