Bien-informé (1797-1800)

Titres alternatifs

Le Bien-Informé
Le Monde (n° [382] du 3 vendémiaire an VII)

Notes

Par Bonneville, Mercier, Bernardin de Saint-Pierre.
Une feuille intitulée "Nouvelle Reprise du Bien informé" précède les livraisons de septembre 1799.
Un des treize journaux politiques (sur soixante) non supprimés par les autorités du Consulat (arrêté du 27 nivôse an VIII), mais pas de livraison connue après le 15 germinal an  VIII.
"Le Bien-Informé reparaîtra le 1er vendémiaire. C'était une des feuilles que Merlin avait jugé bon de proscrire, ne pouvant la diriger. Nous prouverons encore, disent les rédacteurs, par des faits nombreux et qu'on croit ignorés, que le peuple le mieux informé, sera toujours le moins trahi, le moins dépouillé, le moins opprimé" (Ennemi des oppressseurs, 24 fructidor an 7, p. 28)
"Journal ayant paru quelque temps avant le 18 fructidor, et dont le titre n'a pas séduit autant de gens que l'auteur se l'était imaginé. Quelques articles parurent exciter d'abord l'intérêt du lecteur; et puis on trouva que le Bien-Informé publiait souvent des nouvelles fausses… Eh! pourquoi ce journaliste eût-il été mieux informé que les autres ?" (Beffroy, Dictionnaire néologique, 1801)