Année littéraire et politique (1790-1791)

Notes

Pour les années antérieures à 1790, voir Année littéraire 2.
Interruption entre mai 1790 et mai 1791 ; irrégulier pendant l'été 1791.
Une "Note du Rédacteur du Journal" placée à la fin du n° 35 tente de justifier certaine bizarrerie de la numérotation et de la tomaison :

"Beaucoup se plaignent de n’avoir pas reçu le n° 21. [… Il] se trouve fondu avec les numéros précédents, composés de plus de 48 pages, qui forment le complet de chaque numéro. Je préviens d’avance que ce n° 35 a également plus de 48 pages ; ce qui absorbera le n° 36, avec ce qui sera reporté au n° 37.  Celui-ci offrira au bas de la première page, le titre des n° 36 et 37, afin que par la seule inspection on puisse s’apercevoir qu’il n’y a pas de de numéros perdus ou en retard.
Un souscripteur paraît redouter qu’on ne fournisse pas la totalité des numéros pour l’année 1790, parce qu’on lit au frontispice du n° 32, tome sixième, tandis que ce n’est véritablement que le tome cinquième : quoiqu’on ait intitulé ainsi la table du tome quatrième ; Table des matières contenues dans dans le cinquième tome. C’est une erreur typographique aisée à corriger. […]"
(Merci à L. Rigot)